; SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLES 512 RECHERCHES D'HÉMODYNAMIQUE ET CARDIOLOGIE Publiées sous la direction de M. le Docteur DOMINGO M. GOMEZ Lauréat de l'Académie de Médecine Attaché à la Clinique Nationale des « Quinze-Vingts » (Cardiologie) II LA PIÉZOGRAPHIE DIRECTE ET INSTANTANÉE (SES APPLICATIONS AUX ÉTUDES D'HÉMODYNAMIQUE ; CONTROLE DES MÉTHODES MÉCAN1QUES) par D. M. GOMEZ et A. LANGEVIN PARIS HERMANN ET C% ÉDITEURS 6, Rue de la Sorbonne, 6 Narodna in univerzitetna knjiznica v Liubliani 99485 ' JV2. ACTUALITÉS SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLES|[]| m PUBLIEES SOUS LA DIRECTION DE NINI. René AUDUBEHT Directeur do Laljoraloire à l'Ecole des Hautes Eludes ÉLECTROGHINIIE THÉORIQUE J.-P. BECQUEREL Professeur au Muséum d'Hisloire Naturelle OPTIQUE ET IVI AGNÉTISME AUX TRÈS BASSES TEMPÉRATURES G. BERTRAND Membre de l'Inslitut Professeur à l'inslilul Pasteur CHIMIE BIOLOGIQUE L. BLA RING!) EM Membre de l'Instilut Professeur a la Sorbonne BIOLOGIE VÉGÉTALE Georges BOI1N Professeur à la Faculté des Sciences ZOOLOGIE EXPÉRIMENTALE J. BORDET Prix Nobel Directeur de l'Instilut Pasteur de Bruxelles MICROBIOLOGIE J. BOSLER Directeur de l'Observalóire de Marseille ASTROPHYSIQUE Léon BR1LLOU1N Professeur au Collège de France THÉORIE DES QUANTA I. II. Louis de BHOGLIE Membre de l'Instilut Professeur à la Sorbonne Prix Nobel de Pliysique PHYSIQUE THÉORIQUE PHILOSOPHIE DES SCIENCES Maurice de BHOGLIE de l'Académie Frangaise et de l'Académie des Sciences PHYSIQUE ATON1IQUE EXPÉRINIENTALE I). CABRERA Directeur de rinstilutdel'liysiqueelChimie do Madrid EXPOSÉS SUR LA THÉORIE DE LA NIATIÈRE E. CARTAN Membro de l'Inslitut Professeur à la Sorbonne GÉONIÉTRIE M. CA.ULLERY Membre de l'Inslitut Professeur à la Facullé des Sciences BIOLOGIE GÉNÉRALE L. CAYEUX Membre de l'Instilut Professeur au Collège de France GÉOLOGIE (Roches sédimentaires) A. COTTON Membre de l'Instilut Professeur à la Sorbonne NIAGNÉTO-OPTIQUE Mme Pierre CURIE Professeur à la Sorbonne Prix Nobel de Pliysique Prix Nobel de Chiane RADIOACTIVITÉ ET PHYSIQUE NUCLÉAIRE Véra DANTCHAKOFF Ancien professeur à l'Université Columbia (New-York) Organisaleur de l'Instilut de Morphogenèse Expérimentale (Moscou Ostankino) LA CELLULE GERMINALE DANS L'ONTOGENÈSE et L ÉVOLUTION E. DARMOIS Professeur à la Sorbonne CHINIIE-PHYSIQUE K. K. DARROW Beli Teleplione Laboratories CONDUCTIBILITÉ DANS LES GAZ Arnaud DEMJOY Professeur à la Sorbonne THÉORIE DES FONCTIONS DE VARIABLE RÉELLE J. DUESBERG Recteur de l'Universilé de Liége BIOLOGIE GÉNÉRALE EN RAPPORT AVEC LA CYTOLOGIE F. ENRIQUES De l'Académie Dei Lincei Professeur a l'Universilé de Rome PHILOSOPHIE ET HISTOIRE DE LA PENSÉE SCIENTIFIQUE CATALOGUE SPECIAL SUR DEMAKDE ACTUALITÉS SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLES 512 RECHERCHES D'HÉMODYNAMIQUE ET CARDIOLOGIE Publiées sous la direction de M. le Docteur DOMINGO M. GOMEZ Lauréat de l'Académie de Médecine Attaché à la Clinique Nationalc dcs « Quinze-Vingts » ^Cardiologie II LA PIÉZOGRAPHIE DIRECTE ET INSTANTANÉE (SES APPLICATIONS Al'X ÉTUDES D'IIÉMODYNAMIOIE; CONTKOLE DKS MÉTIIODES MKCAMnL KS) PAR D. M. GOMEZ et A. LANGEVIN PARIS HERMANN ET C% ÉD1TEURS 6, Rue de la Sorbonne, 6 1937 Tuli- dittila •!>• Iiu-liu-limi. ■!>• r>-|ir<>iliii-tii.i. ei ■l'aiiu|iliiliay*. ljiftuiiiirr 1WI7 nv Limhiiiik *.iì:.yuii.aii qu'en /i/ti/xn/ue, jusqu'à ees ilcrnières amiécs, l'elude l'iiMniiiii'llo d'ini pliéumiièue i|iu*li'iiiii|iii>, comportali: ilus vai'iiitimis rapiilcs il'cllm-l «ni ile pressimi, était }ii-alii|ii«*iiii-ii( ìmpossilde à cause de certaiucs ilinicuhi's inhcreiilcs aux iiiétbodes «itili— Kóes pmii' iViirr^isIrcmciil i>l Isa uiesurc. (In employait dog uppa-rcils ineriiuiipn-s «|iii mellciil iieccssaircmcut eli jeii une iuertie rel.-itiv 'meni emisiilcraliic. et, dece iail. * seni da- ci-Iui-eì. Kiiliu. il sv pi'uiliiit • 1 «1 iis l;i Iiiiiiièi-c ili' l'aiuiiilli' des cIM* dv ca; ii Ila ri ti'- ■ |iii. r hiiIiìih-s avw Ics eHvts *!«• riscontò «Iti i i> | ili» 1<*. — i'l la visvosilc «Iti sana' est trvs irraiulr — aiiuirlisscnt dillr-rviniiivnl Irs jiliT'inimène* Niiivant leur :i:ii|iiilii>l" ri Ivur ilitrve d'applii-alimi. Si ;ì «*i*iii mi iijmili' qui' !<■ plcxint nvi-veux ilo il Irs artùrcs smit puui-riii's est rxlrriuciin.-iil sviisiblv a la iiiiiiiulrv irritatimi qui pi'iiviiqui' d»s rraclimis vaso-iiiulrivi-s. prvsquv touji.urs spasmiiiliqui's, iiiiiiiiliaiil li» i-alibrv vasmlairv, mi i-iiiiiprniilra ali irs ri1 qui* situili-. a toc si»s tvrliniquvs. Irs • xprcssiiuis eiiiTgis-trvnivii! Ildvlv, mi'surt's ,-ibsolucs, etc. Mais ci* iiVsl pas Imil. Dans ces mulliudrs — ri vii plus di- la caiiuli1 mi ili* l'aiiruìlle (Inni il vivili d'Mrv quvstimi — ir sanir vsl mis vii vuiniiiunicatioii avvc ruriraiiv oscillant, paiTn;itTinvdiaiii> d'un liqnitli' anlM-unirulaiiI vmilvuu dans unv c:nialisii imi |Hiis mi moins Imitile, de laiblv ilìatiirlrv. d'vlaslivitr variablv, conipoi tanl dvs rmuli'S vt ilvs inrtialil.'-s dv dianirlrr, utc. (Ir, snivan! la cmisislaiivv. la lunsrnviir. In diamrlrr. Ivs inriraliirs tic co dvr-nivr. vii-., b'slrai'vs ubtvnus smil lotali'iiivnl dillrrnits. Ymis vrs faits smil linji cmmiis imi hyiiroilyiiaiiiiquv pulir quo nous y iusis-tiuns davaulauv. Aiusi pai* vxvmplv, Amili*' Lanirvvin vt iSmillrc ont ninnirv ilans Iva enrvjfisliiiniviitH vi iiivsnrvs sur irs i-mips tir livlivr qn'ils mil l'vaiis.'s, qu ii siiilil d'aiiiniiviitcr lv oli «-••nlitiii*-trvs sviib'iiiviil la Imuriiviir «In bras muri sur ivqiivi vsl branché l'appari'il viirvjL'istrvnr (cv lira- inurl vlanl prvsquv imi initiale-mvnl . [Ktui'que rauim-IÌKSvmviit suit consiilrrablv vi quv I'ampli-fiiili' enrvirisli've diminuì- il- oli 0 0. iJ'ailivurs, ils mit nimilrr aussi qii'unv simplv bullv il'air cuntvnuv ilans li- liquidi; suflit pour iuiiililii-r l'uinpli'li'ini'iil b* |ilii'iimiiònv liydrauliqur. Oli i-miiprvinl il'iiprrs vvqiiv nous vvnmis ilv diiv, que la mrl imlv idra li- svmìl cvlic uii Imis vvs invmivriiiviils si-miriil Huppriiurs, c'vst-à-ilirv uii la frvquviicv pinprv ile i'rnrvjislreui' rlanl Irrs vlvvrr jiar ra|i|iuri à cvllv ilrs |iliriiumviir a mrsurrr. Ivs pvr-tiirbalimis apimrlvi'S au rvsriniv sui.-ni in>ii:uiliaulvs mi nu'In», d'imi' pari, vi ilans lai;urlìi', d'aulir part, Imil iiiuyvn dv trans missimi di'-ri'i'liiviix suil siippriiii'-. 8 LA PlÉZOGHAPIIIE DIHECTE ET INSTANTANEE Obvier au premier de ces inconvénients, ainsi que ccrtains l'ont fait('), salisse préoccuper des autres, ne peut remédier cu quoi quo ce sriit, tonte méthode où l'un de ces inconvénicnts persiste étant nécessairement cntaciiée d'une cause d'errcur. Toutes ces méthodos, dites dircctes parco qu'ollcs nécessitcnt l'intervention sanglanto, soni on réalité trop ìntiirectcs pour pouvoir resister à uno criliquo oxpérimcntalc sériousc. Fort do ees diflicultés, et inspirò, d'uno pari, des analogics frappante» que présontont les phénomènes de l'hémodynainique avec ccux de l'hydrodynamique et, d'autre part, dcs travaux du Professeur Langevin et de ses collaboratcurs sur renregistremcnt et la mesure fidèle des variations rapides de prcssion dans les conduites, nous avons cu l'idée d'étudicr cette importante question cu utilisant pour cela une méthode dans laquellc aucuuc cause d'errcur, ni théorique ni cxpérimentale, ne sera possible. Le prohlèmc n'élait pas facile, puisque, cornine 011 peut se rendrc compie, il seinhlerait impossible, à première vue, que l'on puissc réaliser un dispositif parfait et eHcctucr uno mesure vraiment directc, tout en supprimant l'intervention sanglante et, par là niènie, les perturbalions du régiine, ainsi quo tout moyen de transmission défectucux comportaliI dcs déplacemcnts de niatière. Dans col ordre d'idées, nous avons été amenés à utiliser une méthode basée sur Ics propriétés piézoélectriques do ccrtains cristaux, notamment du quartz. Il ne sera pas inutile de rappclcr en «pioi consistent ces propriétés. La piézoélectricité, découverte par Pierre Curie en 1881, est uno proprióté Ionio particulière quo préscntent ccrtains cristaux do so polarisor électriqucment lorsqu'ils sont soumis à un ell'ort inéca- (') l/ini de nous uvee ISugnard, lìlejr ci Nougués onl applique A la mesure de la prcssion arlerielle, cliez le cliien, un ilispositil' mis au point eu l'.l-N par MM. Langevin et Hocnrl pour l'elude des surpressions dans les conduites A gros diaiuelrc ile disli'ihulion d'eau (voir MM. Langevin et Mouliné, lìulletin ile l'Union ter/ni ii/iti- iézoeleclrique soumise ii un elTort F : A e, axe métallique ; A o, aie optique ; S, armature métallique. Exer^ons sur un tei cristal un eil'ort F parallèlement à l'un de ses axes ólcctriques, ou bien, perpcndiculaire à la Ibis à l'axc électrique et à l'axe optique. Supposons par exemple, une lame prismatique à base rectangulaire (lig. 1), tailléedans le cristal de quartz et avec sos còtés ti'a' et ed' parallèles à l'axc optique ot son épaisseur ad parallèle àun axe électrique, et que l'ell'ort soit cxorcé sur la face aa'bb', ou sur la face cc'dd'. L'eflbrt F va pro-voquer la polarisation électrique du cristal et sur Ics armatures conductriccs collées sur les laces a'b'c'tf et abed vont apparaìtre des charges ógalos et ilos signes contraires. Li' phénomone est règi par les lois établicspar I'. Curie, d'après lesquelles : 1" ciucile Ili liA PI É 7.1 iGII A l'Ili E IlIKKCTF. KT IXSTA.NTANKE ([in: Miil 1» direction de la pressimi appliquce uu cristal, la pola-risaliou éleclriipie est tmijours iiuruiiile a l'axe upliifue : 2" uuc «'«impressimi iiiiifuriiie, parallèle à l'axe optique. ne proiluil pas ile polarisaliuii : 3' la cliarjre éleetrique Q misi- eli jeu est pro-portionnellc à la force F, loivque celle-ei est dirigi*»* sui vaili l'axe £lcclri«pic, tl'oli U=81<\ (i) In griindi'iii' ò l'Iaul line cunsliuile qu'mi appelli; « moduli' piczo-Alcclrique ». Lorsipic l'elliirt F esl appliipii- ilaus une direction pcrpeiuliculairc a la Fnis l'i l'axe opliipic et à l'axe éleetrique, la qiiiiiitilé del.-clricitó a pj in rn issa ili sur les face» ilu cristal sera : Q=|fò .2) cu licMiruniii pur r l'épaisseur «le la lauic liti lisce, et par /i sa liauleiir. Entro Ics ilcux iiriiiaturcs il cu resulto une (liilcrciii'e de pnteiiliel I" qui sera, si l'ini desiane jmr K le pouvoir iudiictcur sjicciliquc «In qua ri/, par / la largeur ile la lame et par (I,, la sminile ile la cnpacile cu derivatimi sur le quarix et celle des cmniexions (3. !\f/i + liceCn ' ' Li' mutilile picziiélcctriqnc. détermiiic par ('.urie, a été vériiié par maiiils cx|H!riiiicutateurs. Il'aprcs la formule (1) sa valeur est ò = 6,43 X io-* uniti' t:. ti. s cu cxprimanl la forco F ou dynes, (J en unitcs clcctroslaliqiics C. lì. S. Kiilin. mi dnit romplétcr Ics rclatioiis (1) et iài cu Icuaut c-iimptc qui* la charmi' des armalures collces mix iaccs du cristal peiit rlii* iiioiliticc par une variatimi de polcuticl. c'cst-à-dire. que la cliaruc totale est fondimi. polir un coiideiiKiiteur dicleelrique piczm'dectriipic, de deux varialdes indi''peiidiintcs : la Torce F et le puleutiel II. Aux rclalimis (I) et i£i mi dnit ajouler le terme rompli''iii«'iitaire «pii sera I1U, d'oii, K élant uuc constante, Q = KòF + (C -j- «'VliU (4) K:i resumé. «pie l'clloi't F soil «le «piclipics cculiuTumuics soule-uieiit mi de plusicurs kilogrammes, «pi'il ail licu une fois ou «piel- LA PIÉZOOHAPIIIE DIltEGTE ET IX8TAJSTAMKE II ques eonlainos ili* milliers ile Tuis en uni* secondo. par oxouiple. la pidarisatiou éleelrique *ln «-ristai ilo quartz sera tou.jours iustau-tauóe el piiquirtiuiinello aux variation» d'i-H'urt mi ile ; inasinii auxquols un l'a siiiiinis. La iiióllmilo quo iimis ilòi-rivmis k-i ci qui1 iimis avitns eiiiployée polir ims óliulos d'Iiciuoil) uainiqiio osi busco silicea piiipriólós ilu quarlx. Ilos propric-tós mil pormis liion d'uutrcs rci-lier-clies inlórossaiilos ilaus lo tinniamo ile la pliysiquo. Le l'rnfosseur Lanjrovin, so sol-vani ilos i-essourees quo la tecli-niquo niuiloriie mollai! à sa ilisposilion, avait réussi à collecter ces fa iblea cbarjros. à les amplilier et à los cure-frisi rer sur papier sonsible. !!es oxpé-rioiii-os rmislitiiout mi réol prof: rèa ilo la leclinique pby«iquc. pormolt.-iul d'óliiilier. ilans sos uioimlrcs ilólails, titillo uno Milo ilo plióinmiòlios inroil-iiiis mi mai cuinius jiisqu'alors : varia-timis rapiilos ilo in-essimi ilaus les coudiiilcs, cotips de bòlior, prossimis esplosive*. Irópidatimis sóisniiqiics.eti'. A la sui le ile ros ospórioiioos nous avmis ponsò quo la bioloiMo pmirrait. peul-èlre, lirer prolil de la piéxncler tricile. La dimenilo élnil de trmivor imo uiélliiide d'application. el c'osi à quiii umis avmis ti-avaiilo depuis un coiiain nombi-e d'anuccs. Aiilant on plixsiquc il i-sl Tarilo do braiiolior ini apparoil sans perturberei ilóTm-mor le ]dióiimuòiio lui intano, aulaul ou biologie i-os oiiiiililimis smil dillioilos à oblonir. Kl pmirqii'uiie mólliudo frtt absidiimoul corredo, il lallait : I" Min- lo dis]msitif oiirejristreur ait lo umiiis d'inerì io pussilde ci quo sa fréquciico pi-opre soil li-i'-s siipórioiiro à oolles niisos oli jeu par la varialioii de pressimi. G B Fui. 2. Si-lii'-mn ila |>i-'-/li<-. ih la imkxoish m'iiie ihitetltk KT INST antwée 2° Quo la iiiétlioile puisse Atre appliquón sans quo le phéuoniène à étudier soit perturbò. Enfili, et reta est nienti?/, que timi en satisfaisanl aux exi-gencos précédenles, celti; incllinde puisse aussi ótre utilisec imi cliniqiic liumainc, avec toiitos garanties de precisimi. La mèlliode qui; nous propi>sons semldi: répondre à toiis ces désidérata. I.'ii ri'islal di' quarlz piézoélcclrique convcuablcmcnt laillé smis forine d'uue lami- A ivoir lisr. 2i cxtrèiiiemeiit iiiince, est solidaire, par sa partii; inTérieui-o, d'un patin rigidi; li, ile faihles dimeii-kìoiik. qui vieni aflleiirer l'amicali de gardc (I destine n delimiler la surl'are de compressimi. Par soli exlréniiló supcrieurc, la lame eHl tìxéo s't un suppuri absulumciit rigide. l'in* des armature* cnllécs aux l'ares IntéraIcs du quarlz est relire i't la massi- : l'antro. isolce. est reliee A la grillo d'une lampe elee t romèi re F par l'intcrmedinire d'un i-onilucteur /. Uii conden-sateur varialdi' I». interpose entro la grille ri la lame, ci qui1 l'un collimando par la lingue K, permei de régler la scusibilité. L'ensembli' est dcssri-lié au nioyeii ile l'accossoire 0. Les variations du courant plaque ile la lampe Alcctromètrc soni amplitiécs par un ani]ililii-alour rompreiiaiil deux lampes : l'une auiplilii-alrit-c, l'ali Ire de puissance. Ou ulilise le niontage «■ il couraut ruiiliiiii » alili d'éviler Inule dislnrsimi pour les plióno-uiciics qui pi-li veni èlru de forme el durre qui'lvoiiques. A la sorlie di* l'ampliUi-ateur se Inni ve uii oseillograplie éleelro-ma^-iii'liqui- gè il re Dilbois, dont la fréquenee propri; est suflisanle. Cicliti ei permei d'élmlier des pliémuiièiies dont la durée esl iulérieiire au millièiiic ile see.omle, re qui esl Ioni à l'ai! sullisaut. Il esl fin régiuie erilique d'aiuorlissoiiionl alili que, en foiiction des fréijueiiees, la sensiliililé resle constante. D'une si mire pari uii faisreau lumiiieiix qui. une fois rélléi-lii sur le iiiirnir de l'iisrillograplic, va impressiiuiiier uue bande ile papier plinlo seiisible se ilrroiilaul sì ime vilesse constante au moyeii d'un iléroiilenr spócialomenl élildié dans ce bui. La vilesse ile déiiiiileinent esl réirlahle dans des limites très éteinlues. allaul (le quelqiies iviilimèlres à 2"» ueiilimèlres a la .......mie. Uii ruiiiple-leiiips et un sibilai éleelrique rnmplèleiil l'enre-gislreiir. L'alimentatimi ile l'ensemble esl falle soit par le serteur, sui! par piles ou aeriiiiiiilaleurs. LA PlÉZOGnAPIIIE DIKECTE ET IX8TANTAM-E l3 Ajoutuns, enfili, que nous avous ojouté, au dispositif, un élec-trocardiogrnphc à oscillographc Duhois, ce qui perniet d'avidi-simultanément Ics deus tracés. La scnsiliilité de l'appareil pnuvant ótre facilemcnt adaptéc à la grandeur de la inesure à eil'ccliicr, on peut euregislrcr, uvee nutre systènie. des vai-iations d'cllbrt uà de ]iressiuu allant depuis quel-ques ccutigraiuincs jusqu'à plusieurs contai ucs de gramiucs et Fin. 3. duiil la durée peut alici* de quclqm-s sci-mulcs jusquVi un mil-lièinc di* seconde enviruii. Pulir li» runi-tiuiiiieiiiiMil de l'appai-cil. il suflira qui: l'cUbi-l uu la pressimi a éludier s'exerce sur le palili II pulir qu'il apparaissc iiislanlaui-mi'iil sur Ics armalun-s colloca à la lami- ilo quarlx des cliai-fies óloi-lriques cgales ci ile sijriies cuiilrain-s. Mes dorniòros, uue Tuis l'olleclócs et ampliliócs. rumine il a óló dil. suul enre-gislrócs. l'olir cmmallrc l'eMurl uu la pressimi 011 valour ahsoluc l'i LA IMEZOUltAlMUE liIllECTE ET INSTANTA.VKK l'oli leurs variaiioiisi, mi elalmiiie lo disposili!' au iiioyeu d'ime serio dcllnrls staliipies coiiiius exercés sur ir paliii-ipiarlz. Oli l'oiiipriMiii aisrmeul les avanla.ues rmisidcraldcs : ii.i — noni les ililueiisious lalérales ilniveiil ri re inlci'ii'tircs au iliauièlrc ilu vaisseau à cxplnrer— csl simple-meiit pose sur le trajet il'uiic art ère superliciclic. par cxcmple la radia le mi riiuméralc. Il sul'Iiivi alnrxde iléfiirmcr Icgèrciuenl co vaisseau. cu varia»! la cnurso verticale du palili, pmir ipic la Iraiismissimi i!c la pivssinu snu^'iiiiie au «piari/se "asse inlcu-ralo-uiriil. l'iio cmiililimi r.ìt, cepciidaiil. ludispciisalilc : que la muv M MS - l'in. I. — l'i'-zo^riiiiiiiii' liiiiiiiiin ■'•liiliinnr. l.rs IrnilK lmri/iinl:iiix nihii's ni lumi ila Irni'is ln
  • [ii>*iit liicii In |irn|iiii'liiiiiiinlil>s. la plézouraphie DUIECTE ET INSTANTANÉE IO face inlcrcssec reste constante • jiii-1 quo suil le degié «le deforma-liou de l'artère. A cet cifet, imus avons cuipluyé uu aulre palin couceutrique au précédout, légèremeiit plus court et iudépendaut de ce deriiier, ce qui pernii-1 de bien dólimitcr la surlace. Nous ni)us smiuucs bieu assuré. par des expcricuces doni nuus allous parler, que les tissus iiilcrpuscs elitre le palili et Ir couraul sangui li loniieui bieu uu ensemble rigide, statique rt incapai de. en cuiisequcuce, d'y iutroduire la muiudre il; format imi. L'ensemble statique et iuilél'ormable couslituè par la paroi artrrielle et la peau joue ici le mème ròle que. dans les expo-ricuces de 1'. et A. Lama-vili sur rouroifistreuienl des variations rapides de pressiim dans Ics couditions, joue la lame détormable qu ii iiileriiuse eutrr le quartz et le courant liquide dans lequcl sièp-cut les varialions rapides ile pivssion. Les li-ai-rs obleiius li-a-duisenl, aitisi, en fuiictiou du triiips, les varialions inslanlauócs du la prrssion artérielle. Les mesiires, avec ce dispositi!1, smit. dulie, rigouri.-uscmeut isoinéti-iqiirs. Ilieu que les tissus interposés scmblciit pai-failriiirut slaliqurs. nous avuus itu utile dr iva lisci- q:ieli|ues expérieuces polir l'oliirc-tinii qu'oii aurail pu faire, ijue peut-ètre ces tissus seraieut suscep-tibles de se dél'uriner Irès légòremeut sous l'influi-ni-e des variations de pression iulra-arlérielle. La première de ces expérii-iices cousislr à oxercer, aver le palili, plusinirs ell'orls constante, en varia ni Irp'-r -un-nt sa course, de fai;oii à ne pas tmp dérormer rartère, puis à obsrrver Ics résuilats obtenus. (Ir, rampliiude et la furme du trarè resimi coiistaulrs dans ces omnlilious, abn-s que, si les lissus interposés intervenaient, on constaterai! nécessai-renieut des dillereuces notables d'un elfbrt coiistanl a l'antri-. Une autre expérience va cucore nous moiiti-er qui.- ces tissus furuieut, dans ces coudilions. uu ensemble compacl, iiuléroi-mable et no uiiidiliaul pas uos inesures. Milo consiste à fairo vai-in- rt 17-pais-Hcur et la (-ousislaucc iles lissus. eu iulerposaul onlre In peau et lo paiiu les lissus les plus divei-s fì-a;fiueiiis de prati, di- invocante, de iiiusrlos, cartilages, eie.). Nous avous constatò que. mènio lorsqui- l'èpaissnir de ros lissus allriul plus dr 3 ceutiuiè-tres. l'alluri- dr la courbe et soli aiu|ililiiib.- restent conslanles. Si. une (bis ces objooiioiis éearlées, un ajmitc qu'il exisle tou-jours une pi-oportiouiialilé consimili- onlre les varialions des valeurs iiislanlaiiées ile la pressimi ol les m-douiiérs du Iracé, I.A l'I KZUlìllAI'IlIK MIIKCrP. KT Hill ANTAN Mi. t l6 LA IMKZOMIAPIIIE lllHKCTE ET INSTANTASÉE un aura dune une courlie lidèle en coordumióes cartésienues et iiuii plus en cuordoiiuécs circulnires cornine colica, déjù irranile-iiieut déformées. foiu-uies par In plupart des wéthodes mécani-ques. En étaloiuiaiil le dispusitif, une fuis pour toutes, au inuyen d'un ell'url slntiqiie. mi u In vnleur vrnìineiit nlisulue des varia-liniis de pression lì clinque iiislnnt. Mais cette queslioii des vnleurs iiIimiIucs des vnriiilioiis iiislniilnnées de la pression ìmpliqiie la eiiniiaissance d'un eoeriieieul Constant de proportionnalité elitre la flèvialioii ile l'iisrillngraplic et la variatìon correspondaiite ile pression. Il rnudrail que celle relation reste iiiimuable, quel quo soil le dia mèi re, l'épaisseur et le degrò de compressimi du vuis-senu que l'oli e.vplore. Pression bluliipie Oli l'Ili. Ilg ... ( li = o.:hì cui. 11 i e = U,IHi cui ... j li = C\ÌlltÌllll flM'ilt. IMI llllll. liiiiili-iir piipier Hi-viiilinn un -ili. IMI llllll. Iiiiiileur papier Ill'-villliilll HKl'ill. ■•n min. Iiaulciir papier KIT. emisi. l'ivn. ■lllllH II! Invilii KIT. conni. l'i-OKK. il II UH le Iiiviiii KIT. consl. Pro»*. ■Inni li1 Invilii 4 8 13 Ili 20 31 28 a* Il nini. 8 iiiiii. 17 iS»,3 l:n,5 :ìo 1 -I8.IÌ Sii,4 (Si,3 I3,i» iiiiii. H,li inni. 16 | 25.2 MI, S II. A 48 53.7 06,1 i ■W.ii miri. 1 7,7 iiiiii. r 80.» Ihi.K Talilciiii iliininiiil imi milliiiii-lrcs ili; ImiiU'iir sur II1 |in|ik'r. Ics iléviiilions ile riiKcillof!i,ii|ilii> pour mi errori ronslanl • lesi in e ii ilórni'incr tu Invilii ci pulir In vnriiilion ile pressimi ilnns fiiii intérieur. T(l Ts. Ta : Invaine ile ■■sioul-chiiiic ile itilTr-reiilM ilian n-lre el èpiiiiweiir. Par des essais multiplcs, nous souimes parvenu à déteriiiiiier les emiditiniis uplima pour ulilenir celle relation dans Imis les ras. (loia dépend de In suiTnce inléressée el ile In Imiguoiir du pai in-quarti! par rapporl à l'aiinenu de irarde. Le palili doil èlre a peu près au nivenii ile rniiiienu de parilo, de préiereiiee en relrnil ile ce deruier ile I a £ dixieincs de iiiilliiiièlre. Lorsque ces LA PIÉZOUHAPIUE DI11ECTE ET IJfSTAJtTANÉE 17 conditions sont rcmplics, uu obtient un trace dont l'amplitudc, pour une niOinc variatiuu ile pression, reste consta 11 te quel que soit le diametro, l'épaisseur et le modulo d'clasticitc du tuyaii utilisé joir tableau). Pratiqueiuent pour ell'ectuer un bou ctalonnage, il suflil de faire rógnor dans uu tuyau élastique des pressious statiques de plusieurs valcurs. Cela perinct de déterniiner la relation entre l'amplitude du trace piézograpbique et la rariatiou de pression dans l'artèrc. Opérant cornine il vieni d'otre dit, 011 cminait avec précisionla grandeur de bi variatiou de pression. c'est-à-dire l'amplitude piózograpliique en valeur absolue. Reste maintenant à trouver la position du trace piézograpbique étalonné par rapport A, la pressimi atuiosplièriquc. seul poiut de repaire pris jusqu'ici pour zèro avec les tcclmiques iucca niques, notamment avec la spliygiuomiinoiuólrie. Lorsqu'il s'agit d'un système liydrodynamiipie reproduisanl les pbénomènes de la circulation sanguine, il suflil d'elice lucr l'enre-gistromeni sur la conduite, après s'ètre assuró que le patin-quartz a la longueur convenable. l'uis, on arrète le fonctioniienient du système, et 011 réalise dans la canalisation — sans touclier le dispositif piózoóleclriquo — une ou plusieurs pressious statiques connues. en partaut de zèro et au inoyen d'un maiiomètro à nicr-cure. Clicz riiomiue ou arriva & déterminer la position de. la pression atinospbèriquc par des inoyens dirccls et imlirecls. (Juarnl ou utilise des tuyaux aux parois très niinces et très sou-ples leu baudruebe par exeinplo, n'ollraut alienile rcsistancc a récraseuieut, de Ielle sorte que le tuyau s'atlaisse de liii-mcmc dès qu'ii osi ville, l'ellbrt ajrissanl sur le patiii-quarlz. lorsque le luyau est déformé, ne peut Otre nutre que celili réalisé par la pressimi sur les parois. Dans ces conditimi», seul l'ell'orl il ri à la pressimi agii directeiueut sur le quarlz. On a dono uni; mesure direete en valeur absolue. Or, de ce poini de vue, mie artère peripbcriquc. est comparable 11 uu tuyau doni les parois, très miiu-i's et très smi]des, s'aUaisseul il l'élal ile vacuité. (Ielle niclllodc polir la détermilialion de zèro, peul è tre eiuployée dans iliux ras : sur l'animai cliez lequel il esl facile ili: déuudcr une artère i-I v cllec-luer ime mesure dirct-lcmc-iil à Iravcrs la paini : e.licz cerlaius sujcts maigres, lorsque la peau et les tissiis interpose:' ii'ollrciil I.KK 1.018 l'HYSIvjriM IIK l.'llKMOllYNAMIgUK. Il |S T,A l'iézOUBAPIIie DIHECTE ET IKBTAKTA.fÉE pus un» gronde résistancr a In «léformation. II ii'eu est pas de ìuèine cliex les sujcls gras, ilmit In peau est très tendile et oii il laut exercrr un i-lF|unni les viirintioie- ivs>inn i-ii miioiiI ile l'arli're r:s Muli-. mi ilélermiiiail. la liauleiir d'une i|uclemii|ue ile s<-s m-ilumii'-es en preiianl la pressimi almuspliériipii' cornine puinl ile iléparl, il sernil facili* a li irs d Vii iléiluire la valeur ile cliacune iles orduu-néesile pressimi par rappm-t à xèni. Ili-, les crilères spliypiiiumn-nmnéti-iipies peuvent nmis reuscigiier sur ce pniul uvee une appriixiiualion suflisaule ilaus eertains cas. Dans un mitre Iravail. nmis iliinns dans quels ras les critères ile pressimi maxima, luiiveuiie et minima, duivuul ètri; temis pour plus uu iiiuius appi-nxiiiiatifs. Kulin. la iiiéllnnlf suivaule, à laipn-llr imus ilmiiious la prèfé-reiirr, pri'inrt il'avuir un limi poinl ile repère. Aliu-s que reure-psli-cmcnl pirjuigrrnpliìque s'eUi-i-lue sur rm-tère rmlinle. mi exeree ali uivrau ile l'Iumiérali* uni1 emiti-e-pi-rssimi piieumatiipie siiftismile punì- éteiiulre le puuls. l'uis, mi fai! dóni il tre la rmtlrc- LA PIÉZOGRAPHIE DIItKCTE ET IXST YXTA.NKE II) pressimi pi-ugrcssiveuieiit eli Kulan! seh valeurs siu-cessivi's. Uu observe aloni que les ampliludes pii'-zuurapliiqiit-s. uulles lui-sque la cunlre-pri'ssiiiu élail Inq» furie — supérieure à la maxima — vi mi eu auirmi'iitaiil d'almiil au fur el à mesure qui* la coni repressimi diminuì- ilaus la uianclielle, el devieimeiil eusuile iuva- Tamps I-in. ti. — l'ii'ZOifi'iiiiinii' liniiiiiiii riiiinaili*, puis ra|i|iorla; fi la inv.'xioii nliiiiM|ilu:rii|iiL'. ri ab les pmir un certain laux de la conlre-pressiuu (vriir fijr. 0). Ce laux de la ruiilre-pregsimi lail equilibri-, imus umis smiuues bien assuré, à la valeur iiiiniiua ile la ]iressimi du san.!? daus l'art-M-e. Ce erilère emislilue, ilès Im-s. uu exi-elleul puinl ib> repere pmir délerminer. daus Imis les eas, la pusilimi du pìèzo-gramme élalmmé par rappm-l à la pressimi almospbcriqin*. Ih'S expi'-rieiiees que iiuus veiiulis d'exposer, il ri'-sulli- : I" que la uu'Illude pir-zugrapbiqiie pi-rmel d'ubli-iiir mi Iraeé rifruiireugi--ineul lldèle des varialimis ile pressimi qui mil limi iiurmali'im-iil un LA PlÉ/.OGHAPHIE DIHECTE ET IXSTA.NTANÉE daiis l'arlère ; 2° quo l'un peut connaitrc avec cxactitudc l'ampli-tudc du pliénoinòne en étalonnant le dispositif au préalable ; 3° que l'un peut mesurcr la valeur absolue de la pression à cha-que instant, avec une approximation suffisante chez l'bomme, avec exactitude en expérìmentation. II CONTROLE PHYSIQUE DES MÉTHODES MÈCANIQUES Dans un nutre trarail, l'un «le nous a montré que, pour un regime liydrodyuamique ayaut lieu dans un circuii anaingue à colui do la circulation sanguine, la pression ìnesuréc à partir do la prcssiou alinospliérique — seni point de rcpère pris roiunie zèro jusqu'ici — n'est, 011 iléfìnitire, que In resultante de plusieurs variablcs, cliacune ilo ces dernières ayant sa significaiion propri; et traduisanl, d'uno fa^-on précise, l'état d'uno fune limi délernii-néo : état des caractéristiqucs physiquos des raissenux, — degré de conductance ou do résislance du réseau capillairo, — rélracti-lité ou contractilitò dcs parois rasculairos, iuiporlauco du déliit circulaloire ot do la vitcsse d'écouleinenl, eie. Xous avons vériiié qu'il cu était aiusi clicz l'In mimi! uoriual ot pathologiqiic. La con-naissance do la presKÌon on valeur absoluo ou — co qui revient au indine — mesurée à partir ilo la prossimi atmospherique, no peut donc offrir qu'un inlérèt tout à lai! secondairc. (Jue, jusqu'ici, la cliniquc on ait tirò quelquc proli!; quo, en partii-, lo tableau de l'hypcrtension arlériello ait été établi grftce aux ilon-nécs spliygiuoinanoniétriquos, cela n'est pas discutalile, et, (-oiiiine par lo passe, Ics critèrcs tonsionnols conliniicrout à apporter un grand appui dans rcxamon soniatique du ma Inde : mais, à condi-tion — et 011 cola la plupart dcs cliniciens scront de notii; avis — qu'on no lour domande pas plus qu'ils no pouvent doiiner et qu'on n'y attaché pas plus d'importatici; qu'aux autres données séniéio-logiques. Les anomalies aecusées que I'on ohserve dans Ics critèrcs sphygniomnnométriqucs traduisent bien uno altération de la dynamiquo cardio-vasculaire. sans qu'il nous soit possible de a a la piKzoonAi'iiin uihecte et ixstantanée savoir oii se trouvo eolie am>iiialie : par contro. lo fail que ccs mòmes c ritòrca rosteut iiorinaux u'iiiiplique pas que Ics funclions circulatiih'cs snicnl iiifleuincs. Os roslricliuiis climi faitos, plusicurs questinns so posent, à sa voi r : (Ics critères noiis renscijmciit-ils, d'uno maniero plus ou moius prccisc. sur f'élat ilo la prcssion artericllc priso ii partir de zero? Les uiótimdcs ol les critòrcs spliygiuoiiianomélriques repo- Kiu. 7. — Si-lii1!!!!! ili: i:iri'iiliilioii polir le mulinili.' ilu* uppmviN. li/ : l'.nliiiiel toiiriiiiul. C : iji|nn:ili'' ■'■liiKtiijiic. l'r : rii'/n-Tiiplii- .■•/»// : iij>|i.-ii-t-ll iiiiViiiiìi]iic A innlrAler. M : inniiiiiiii'lii' '-niiipcriKiili-in- A iiit'ir.iri'. senl-ils sur des principes pliysiques cortains? S'ils sont errmiés, ilans quelle mesure le sout-ils et l'erreur est-elle systi'miatiquo ? Nous noiis snmuics atlnclics ;'i régoudro cos direrses questioni). Noiis Ics nvous cluiliccs il'ahm-tl du pnint ilo ruo plivsique. puis nnus avons procède nux vèrilications qu'il coiiriont clicz l'Iiomine lini-mal et pnlliolojriqne. Nous nvous élé roniluils — pnisqn'il no nous est pas possilile ile filili' vnrior a mimile Ics ilill'èi'cntcs rmistantes pliysiques du système ci reni a Ini li* clicz l'Iimume — à rèa lisci- un iiinilèle méca-nique l'cpriiiluisaiil ios pliéimuiènes de riléinnilynninique et qui permei do fnire varici- à vnlmité les cousliiiitcs pliysiques ilu cir-ruil ninsi que la frcquonce des pulsalimis elitre les limites pnssi-iilos. ce iloriiior pninl ólaiil piirliculicreniout impui-tmil. Pai-mi Ios cnuslaiitcs pliysiques les plus iniportanlos soni Io nuululo rl'èiasti- LA PIÉZOGIIAPIIIE DIRECTE ET I.NBTAXTANÉE S3 citò ile la pnriii arlcrielle, soli épaisscur; la luiigucur et le diamètre ili's vaisseaux. etc. l'our pouvoir olitenir uu reglagc facile de la fréqucncc des pulsatimi, la solution la plus simple est d'utiliser un dis]ioKÌtif comportali t un mouvemeiit de rotation pour la production des oscilla-tious depressimi. .Nous arons réalisé très simplemciit ce dispositif producteur d'ondes pulsatoircs en uous servaut d'un roliinct tour-nant à deux directimis en angle droit. Le muntale consiste cu un réservoir d'eau à niveau Constant et alimeuté par la caualisation de la ville, le débit lì l'admissioii etani regie de tclle sorte quii est égal au débit nécessaire au fonctioiinemcut de l'appareil. Ce dispositif débite daus un ensemble de raualisations ligurant le système artéfici. Cclui-ci est consti tur par un gius tuyau de caoulcbouc épais, représentant l'aorte, qui se subdivise eusuite en plusieurs ramilicatimis de diamètre. lmigueur, épaisseur. modiile d'élasticité, etc. très variables. Alili de sebématiser le réseau cupillaire. cliacune de ccs artèrcs artificielles se termine par un tube de verri- de diamètre correspoiidaiil et si; teriiiiuanl par une partie étiréc plus line, presque capillaire, ce qui provoque ime grosse perle de ebarge au inoiueiit m'i il y a débit. Os tubes étii-és sout placés verticalement, à une bauteur réglable représeiitiuit la pressimi iirtériellc staliqiie. Le fouctioimement ile cct euseiuble se trouve asscz conforme au foiicliiiimeuicnl du système circulatoire clic/, rbmiime. Il a Invaniate d'Otre réalisé très siiiiplemeiit, de periucllrc uu réglagu facile et de pouvoir ebauger aisémeul les caractéristiqucs du circuii. Le tube à exlrémilé capillaiiv, déboticlianl à l'air libre et placé verticalement, permei la Iccturc de la pressimi minima daus le schèma de circulatiou. On constate, en ellet, qu'ii la lin de la diastole, avec la diniiuutiou de débit c|ui s'ensuil, la bauteur du liquide so uiiiiiitient, daus la partie du tube précédant le rélrécis-semeut, il un niveau lixe bicu déflni qui mesure, cu bauleur d'eau, la pression minima. Enliu, un uianomèlre à mcrcure coin-porlant un rétrécissemcnt ca]iillaire permei la mesure ile la pression moyeniie aux diU'ércnts points du circuii. La vitesse de rotatimi du rolline! et, par conséquciil, la fré-queuce des pulsatioiis, peut varici' l'i volonlé, le robinel élaut cnlraiué par uu niotcur élcctrique à vitesse consimile mimi d'uu déniultiplicalcur de vitesse el d'uue sèrie d'cngreuages perinei- ni la piezocuiapiiie directe et ixbtaxtaxee taut de ì-ualiser dcs vitesses définics, (le graudeurs variablcs et allatti ile 30 à 130 A. la minate. Les appareils de conti-file, ainsi que ccux qu'il s'agit de réi-ilicr, soni bi-ancliés convenablemciil cu diM-rents poinls de la caualisa-tioii figurimi Ics artères et assez proclics Ics uns des autres. Les appareils de coutnldc sont : 1. Le /riéziigi'a/i/ie qui donne la courbc étalounéc et rigoureu-scmisiil lidèle des variations de prcssion dans la confluite. L'éta-lomiage n'olire ici aucune difliculté. Il suflit pour cela d'arrèter le fouclioiiiirmciit du circuii liydrodynamique à un moment donni'* el d'y i-éaliser, en partant de zèro, plusicurs valcurs statiques de la pression, en se scrvant d'un rcservoir que l'on plaec à difl'é-rctils niveaux par rapport il l'axe de la conduite. Procédanl colutile il vieni d'èlre dit, le trace piézograpltiquc donne, ù elia-quu installi, la valeur absolue de la prcssion. Pour conualtre la valeur uioycuiii- de celle dcrnièrc, il est nécessaire d'intégrer la courbe par un nioycu iuécaniquo appropriò. II est l'i sigualer que, prntiquciiicul, il suflil de tirer une droitc parallèle l'i l'aliseisse delimitai)! des surfaccs à peti près égalcs. 2. Pour nvoir la valeur de la pression uioyenue d'une fa^-on plus siuqile. nous avous ulilisé aussi, au lieu de l'oscillopraphe électroiiiagnétique que comporli- le disposili^ un galvimoiuèti-e balistique à période pi-opre suflisaiiiiiii-nt Intigni- de manière A ne pas pouvoir suivre Ics variations de pressimi. Hans ces condiiions un oblimi! un trace, representó par un Irai! Iiorizonlal avec de très légères oiidulalioiis el doni lu liaulcur mesure la pressimi moycuue. la piézographie directe et instantanée 35 3. Enfln, nous nous somincs servi, pour la mesure de la pression ino venne, du manometro compensa tour de Marev, ce qui nous a permis de confrontcr les trois méthodes. Ce dernier manometro, nous l'avons vérilié, donne une mesure exacto «lo la pression nioyenne, à condition, nuus l'avons vu, quo la conduite do traus-mission unissant lo manoinètre à la canalisation artérielle. ni' soit pas trop longue. Au delà d'un mètro, les inosuros no sout plus très fidèles. Cette manière d'opéror pennet un contròle ratioimol des élémonts suivants : a) De la forme et do l'amplitudc des tracés de pressimi donnócs Fio. <1. — Trarci ilei nirillHtinni : ri, pour un tuymi sonple : li, pour un Invilii A orlimi inoiliile il'éliitiliuité. Ménu* rcgiine ile pressimi tinnì leu ilciix etti (M.f, 13: Mi/. 9 : Mi», 5,5 riu. II|r). par Ics appareils mécaniques. uotamment par le spliyginograplic à rcssorts et par les capsules spliyirinouiaiimnélriqucs gemi! Paclion. 11 suflit de confronto!' ees tracés avec- ceux olitenus par le dispositi f piézoélcctrique. b) Dos critòrcs sphygmoiiianumótriques que l'oli donne pour les valours maxima, moyenuo et minima de la pression artérielle. Dans Ics métliodos de contrùlc, cor valeurs de la pression sont déterniinées simidtaiiémeut : la maxima, par le piézograiiime éta-liinné; la iniiiima, par deux procédés à la fuis 'mesure piézogra-'pltiquc directe ot liautcur d'eau, dans Io lulie terminal, àia liti de la diastole, ces deux crilères tloniianl des cliiilrcs très voisins) ; enfili, la nioyenne des pressions rariahles, osi olitenuc ilo trois uianièrcs diirércntes : integration du piézogramiuc, galvanoni&tre balistiquo et manoinètre compcnsateur do Marey. Ces trois dei'- aC LA PIÉ7.0GRAPHIE DIRECTE ET IK8TANTAXÉE nières méthodes se correspoudenl prosquo exacteincnt, aux crrours de Ioduro pròs. L'appareil niécaniquc à conlròler est uiis en communication uvee les vnisseaux artilicicls au nioven dcs dispositi!» hahilucls do tran smissioii : spliygnioscopes, manclielles pneuuiati(|ues, otc. Les inélliodes conlròlees olii óté : 1. La x/t/if/ijmogra/i/iie. — Nous avons di! au debut de ce travili! que le Irncé spliypmogrRphique était loin do pouvoir nous renseigner sur l'allure ot sur l'auipliludo des variations do /ires- ti itiiiis une uièiiiu i-niinlfetilion : a, pnur un rylltiiic ile IMI ; A, ]inur ini potila ■lu 70: e, pour un poniti ito 130 (l'r.-ssion : .«i.r, 14; il: Mn sì,8 cui. Hg). situi. Yoiei niain tona ut quelques expérieuces. réalisées sur le selióiiia ■'! sur l'iiniiuue, qui eonliniicnl ce que nous avons déjà avanré : a Lorsqur l'oli imi registri1 siniullauruieiil, sur le scliénia, la rourlie spliviunurapliiquc el celle fouruie par la mélliode piczo-élcclriqiic, mi oliserve quo, alislraclion faite de raiii]ilitude, Ics deux Iracés soni loliileiuent différents (|uaul à leur allure géné-rale. Sui vani la [ì-équi'iice proprc de L'appareil niécanitiue Ics accideuls soni plus ou nioiiis arrniidis. l'ascensiou iniliale du Iraré esl relalivenienl très lente et très imi rei ani par rapport ù la moiilée ile pressiim dans la eaiiiilisalion. b) Si, sur iIimix liiyaux, l'un de l'ailile diamèlre el pcu élasti-que. l'auIre de gros diauièlre el Irès dét'ormahlc, on diecine ces uièines iMiregisIreinentH simullanés, Ioli! en conservimi hi aitine la plézogr \phie iwiiecte et ptrraxtanke 37 amplitudc ilo pressimi, mi constate que le piézogranmie présente In mème amplitiiile ilans les deux tuyaiix, aloni que l'amplitmle spliygiuoirrapliique est plusieurs fois plus petite ilans le petit que ilnus le groi Invilii. r\ Enfili, sui vani les caractérislique* iles artèrcs ile I'Ihuuiiic, les tracés spliyo-iungrapliiqucs cliangont plus mi nioiiis il'aspeot, leur furine étaut luin ile i-epinduire l'allure iles variatimis ile pressimi. Leiir amplitmle nolammcut n'est imlleiueiit en l'appuri avec ramplitiiile ile In pressimi aitisi qu'mi 1 murra se remlre emupte ]iar les Iriu'és ei-jiiints, elioisis jiarnii beaueuup il'aulres. • In peut dono emielure, — et en cela Marev Iui-mèiue l'avait signalé — que le sphygmngramme peut, tout au plus, nous don-ner une idée de l'allure généralo de la varialion de ]iression, mais nullement sur son ani]ditude et sur ses dclails. 2. lìuscillomélrie. — Xous avmis. iei, étudié tiiiis sortes il'ap-pareils : l'oscillinnètre ile Parlimi, le Kyinoniètre de Yaquez, Glcy et (ìomez : enfin, la eapsule oscillmuélrique de Paclion-Doulitte, organo ossen liei des appareils enregistreurs d'osr.il la-tions employés aetuellement cpirlquefois en rlinique. Aver l'un quelcmiqui' de ees appnreils, 011 procède de la facon suivaiite : les oscillnlions sont renieillies au nioyen d'un-lirassa ni mi d'un spliygmosi-ope. Elles pouvent ri re enrogistrées sur papier unirci au unir de Tornée ou Ines dircclcinent sur le cndran de l'oscillo-mètro. Du éludie alors lenrs ampliliulcs rn finn-limi de la eoiilre-prcssimi nécessaire 11 leur production d'une pari, cu H mei imi de la pression dans la camilisalion. d'autre pari, ci 011 repère, antan! que fairc se peut, les crilères, dils oscilloniétriques, de pressimi maxima, nioycnnc et minima donnés en cliiiique. Nous Ics avons élmi ics cu fonctimi des caractéristiques des artèrcs. de la fréqucncc du pouls et des fréqurnrrs que Ics varialioiis de pression metlciit en jeu. a) In/fufiiicr ile la riyhlilè ilrs /itimi*. — Si. avec un ménte régime de pression dans la ramilisalioii, 011 rrrueille Ics osi-illa-tions sur Irois arlères arliticiellcs ile niodiilc d clasticilé el d'épais-sciir dillerenls. 011 musiate que sur ees trois vaisseaux Ics crilères OHcilIouiétriqucs de prcssious maxima, moyemie el iiiiuima sont loul l'i Tail dillereiils. ci que, par rapport aux valeiirs rccllcs ile la pression, ees crilères sont d'autaii! plus erronécs que la défor-maltililé élastiqup des parois est plus faildc; en d'aulres termos, 2* LA PlÉZOr.HAI'IIIE MHECTE ET INSTANTANÉE ils sont d'autant plus décales vcrs des pressions trop fortes, quo la résistance à l'écrascment est plus maifjuée. Ainsi, par esempli», pour un tuyau cu hauilruche la contrn-prcssion donnant licu à l'oscillatimi maximale se troure assez voisine de la pression inoyeiiiic réimaut dans le système, — à conditimi, on le verrà plus loin. que la fréquence du ponls soit mainteniie elitre certaiues limites —, alors que polir uu tuyau de fcuille anulaise, la coutrn-prossimi des granile* oscillations est voisine ile la pressimi maxima. 'In pi-ut cnui-lurc, en conséquciico, que le degli» de rigidifé des Km. il. — CnurliK il'osirillulionn olilrnuca sur le iéxO|frii|iliu> iliivi-u- ci inula 11 (miai;.............I II. — itontrùli! |iiiy>ii|ii>' ile* iiiéllioilcn iiici-nnuiiics....... imi-i.imi:iiip. ■.\hni':»i'ii — lavai. f f ranci. i — ACTUALITÉS SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLES PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE MM. r. fabre Professeur de Toxicologie à la Faculté de Pharmacie de Paris TOXiCOLOGIE ET HYGIÈNE INDUSTRIELLE Ch. FABRY Membre de l'Institut Professeur à la Faculté des Sciences OPTIQUE E. FAuRE-FREMiet Professeur au Collège de France BIOLOGIE (Embryologie et Histogenèse) Ch. FRAIPONT Professeur à la Faculté des Sciences de Liége PALÉONTOLOGIE ET LES GRANDS PROBLÈMES DE LA BIOLOGIE GÉNÉRALE Maurice FRECIIET Professeur à la Sorbonne ANALYSE GÉNÉRALE M. L. GAY Professeur de Cliimie-Physique il la Faculté des Sciences de Montpellier THERMODYNAMIQUE ET CHIMIE J. 1IADAMARD Membre de l'Institut ANALYSE MATHÉMATIQUE ET SES APPLICATIONS Victor HENRI Professeur à l'Université de Liége PHYSIQUE MOLÉCULAIRE A. F. JOFFE Direcleur de l'Inslitut Physico-Technique de Leningrad PHYSIQUE DES CORPS SOLIDES A. JOUNIAUX Professeur à l'Institut de Chiane de Lille CHIMIE ANALYTIQUE (Chimie-Physique, minérale et industrielle) P. LANGEVIN Membre de l'Institut Professeur au Collège de France I. — RELATIVITÉ II. — PHYSIQUE GÉNÉRALE Louis LAP1CQUE Membre de l'Institut Professeur à la Sorbonne PHYSIOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX A. MAGNAN Professeur au Collège de France MORPHOLOGIE DYNAMIQUE ET MÉCANIQUE DU MOUVEMENT ch. Marie Directeur de Laboratoire à l'Ecole des Hautes-Etudes ÉLECTROCHIMIE APPLIQUÉE Ch. MAU1UIN Membre de l'Institut Doyen de la Faculté des Sciences Directeur de l'Institut de Physique du Globe PHYSIQUE DU GLOBE André MAYER Professeur au Collège de France PHYSIOLOGIE Henri MINEUR Astronome à l'Observatoire de Paris ASTRONOMIE STELLAIRE Chr. MUSCELEANU Professeur à la Faculté des Sciences de Bucarest PHYSIQUE GÉNÉRALE ET QUANTA M. N1CLOUX Professeur à la Faculté de Médecine de Strasbourg CHIMIE ANALYTIQUE (Chimie organique et blologique) P. PASCAL Correspondant de l'Institut Professeur à la Sorbonne et à l'Ecole Centrale des Aris et Manufactures CHIMIE GÉNÉRALE et MINÉRALE Ch. PÉREZ Professeur à la Sorbonne BIOLOGIE ZOOLOGIQUE J. PERRIN Membre de l'Institut Prix Nobel de Physique Professeur à la Faculté des Sciences de Paris ATOMISTIQUE CATALOGUB SPECIAL SUR DEMANDB US jm 1!1VÌACTUALITES SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLESEj|r PUBLIÉES SOUS LA DIRECTION DE MM. Marcel PRENANT Professeur à la Sorbonne I. - BIOLOGIE ÉCOLOGIQUE II. — LEtJONS DE ZOOLOGIE A. REY Professeur à la Sorbonne HISTOIRE DES SCIENCES Y. ROCA HI) Maitre de Rechercbes THÉORIES MÉCANIQUES (Hydrodynamique-Acoustique) R. SOUÈGES Chef de Travaui à la Facullé de Pbarmacie EMBRYOLOGIE ET MORPHOLOGIE VÉGÉTALES TAKAGÌ Professeuràl'Universitélmpériale de Tokyo MATHÉMATIQUES GÉNÉRALES TA MI YA-(HIROSHl) Membro du Tokugawa Biologisches Instìtut-Tokyo BIOLOGIE (Physiologie cellulare) A. TCHITC11IBABINE Membre de l'Académie des Sciences de l'U. R. S. S. CHIMIE ORGANIQUE (Sèrie hétórocyclique) Georges TEISSIER Sous-directeur de la Station Biologique de Roscoff BIOMETRIE ET STATISTIQUE BIOLOGIQUE G. URBÀIN Membre de l'Institut Professeur à la Faculté des Sciences de Paris THÉORIES CHIMIQUES Pierre URBAIN Maitre de Conférences à l'Institut d'Hydrologie et de Climatologie de Paris GÉOCHIMIE Y. VERLAINE Professeur à l'Universitè de Liége PSYCHOLOGIE ANIMALE P. WEISS Membre de l'Institut Directeur de l'Inslitut de Physique de l'Universilé de Strasbourg MAGNÉTISME R. WURMSER Directeur du Laboratoire de Biophysique de l'Eeole des Haules-Etudes BIOPHYSIQUE Actualités ScientiHqucs et Induatrielles Sèrie 1937 (suite) : 47!). Augustin Sbsmat. Le probléme................12 fr. 480. Augustin Sesmat. L'ancionne astronomie d'Eudoxe à Descartes ..'.".'! 15 fr! 481. Aijgustin Sesmat. Mécanique newtonienne et gravitation...... 20 fr! 482. Aijgustin Sesmat. Le système absolu de la mécanique...... ! ! S fr! 483. Augustin Sf.smat. L'optique des corps au repos.......! ! ! 18 fr! 484. Augustin Sesmat. L'optique des corps en mouvement...... . ! 20 fr! 485. Augustin Sesmat. L'esprit de la science classique .....'..!! 12 fr! 486. Augustin Sesmat. Genése des théories de la relativité ...!.! ! ! 10 fr 487. Augustin Sesmat. Principes de la théorie restreinte. ...!..!! 12 Ir! 488. Augustin Sesmat. Les systèmes privilégiés de la théorie restreinte . .' . 12 fr! 489. Augustin Sesmat. Principes de la théorie générale................12 fr. 490. Augustin Sesmat. Théorie relativiste de la gravitation.....! ! ! 15 fr! 491. Augustin Sesmat. Les systèmes privilégiés de la théorie générale . ! ! 5 fr! 492. Augustin Sesmat. Essai critique sur là doctriue relativiste.....! 10 fr! 493. René Lambert. Structure générale des monogrammes et des systèmes nomographiques.....................15 fr. 494. I). Wìunbehg. Unification des méthodes de mesure en biometrie différen-tielle. Le tétronage : échelle en (juarts de sigma ..........15 fr. 495. E. ScuiiEMEii. Les types humains. Première partie : Les types somatiques! 20 fr. 496. E. ScHREiiiEii Les types humains. Deuxièmo partie : Les types psychologiques. 18 fr. 497. E. Sohreider. Les types humains. Troisième partie : Les types somato-psychiques.......... ....................20 fr 498. 1). F. Poolson. Tho embryouic development of drosophila melanogaster by. 15 fr. 499. P Urrain. Introduction à l'étude pétrographique et géochimique des roches argileuses. — I. Méthodes ohimiques. — li. Méthodes microscopiques ... 15 fr. Liste complète à la fin du volume. imprimerib barnéoud. — LAVAL (FRaNCK).